Un été sans point ni coup sûr est un film parfait pour l’été! Il nous parle du passage de l’enfance à l’adolescence, de nostalgie, mais aussi de résilience, de relation père-fils, d’amour inconditionnel et de courage. Le tout avec légèreté sur fond de baseball.
L’histoire se campe à l’été 1969, alors que Martin (Pier-Luc Funk), 12 ans, ne rêve que d’une chose : rejoindre les rangs de la nouvelle équipe de baseball majeur, les Expos de Montréal. Malheureusement, il est retranché de son équipe de quartier. Son père, Charles (Patrice Robitaille), qui ne connaît absolument rien au baseball, décide de former une équipe avec tous les enfants recalés.
En plus de mettre en vedette Roy Dupuis dans le rôle du « méchant » entraîneur et Jacinthe Lagüe dans celui de la mère de Martin, plusieurs personnalités connues du monde du baseball québécois font des apparitions dans le film. Citons les joueurs Denis Boucher et Claude Raymond, les anciens joueurs et commentateurs Jacques Doucet et Marc Griffin, sans oublier l’incontournable animateur Rodger Brulotte.
Ces petits clins d’œil font un immense plaisir aux mordus et nostalgiques de baseball québécois.
Évaluation par Gabrielle Caron
Distribution:
Jacinthe Laguë, Patrice Robitaille, Pier-Luc Funk, Roy Dupuis
Réalisé par Francis Leclerc, qui nous a notamment offert les films Pieds nus dans l’aube (2017) et L’Arracheuse de temps (2021) ainsi que les séries Apparences (2012) et Les beaux malaises (2014-2017).
Inspiré du roman du même nom, paru en 2004 et écrit par Marc Robitaille.